Saluttes,
un 'tit commentaire à ce propos...(rapide et bref, peut-être devrions nous nous y arrêter plus longtemps?)
Se parler c'est commencer d'agir
ouvrir, donner les occasions de ce parler, de se parler vraiment, je veux dire pas comme on l'entend pour nous: bref se réaproprier le discours est un acte en sois!
combien de lieux, quels relais, qui n'orientent une parole, ne biaisent les débats: de désinformations en alarmismes, de raccourcis en simplification, les ré(f)léctions souvents sont l'otages de calculs, de leurres, qui les défonts de leur sève.
se rencontrer, s'écouter parler, dans les modalités réappropriées, donne à voir déà, uine parole non aliénée, une parole libre.
Celle-ci, bine entendu s'accompagne de l'acte, mais sans jamais s'en disjoindre...
tu sais bien, Archangecash, ce que donne l'acte pour l'acte, qui isole une avant-garde, de ce qui nous étend ensemble: autrui.
ne soyons ni l'otage du temps, ni celui d'un catéchisme de la révolution.
Que de multitudes de groupe dégagent collectivement des rencontres-regards-actes obliques, hé bien tant mieux!
ce qui fît que d'aucunEs parmis les anarEs furent et pourrons poser des actes, c'est justement de se parler, de se rencontrer, de se fédérer...(comme dit Lilie)
Ton discours critique est justement capital (héhé.. z'adore..) dans les dynamiques de créations de nouveaux rapports sociaux!!!
alors surtout dévellope!! comment-pourquoi-pour qui faire?
faut-il "éveiller" les consciences (ça me fait un peu peur: une avant garde éclairée?) ou faire en sorte que les conditions soient réunies pour que chacunE s'éveille par lui-même...?
comment agire que ce soit réellement pertinent? (pas récupérable, pas orientable..)
etc...
belles tout'